Jeanne Vicérial questionne les moyens de conception vestimentaire contemporains, et proposant une alternative à la dichotomie sur mesure/prêt-à-porter liée au système de la fast fashion. Elle approfondit cette recherche par la mise au point d’un procédé robotique breveté permettant de produire des vêtements sur mesure, sans chute (tricotissage). Parallèlement, Jeanne Vicérial engage une démarche artistique qui la pousse à fonder, après un passage chez Hussein Chalayan, le studio de design Clinique vestimentaire. Développant de nouveaux principes de création textile, elle s’inspire principalement des fibres musculaires afin de créer ses propres tissages.  Pensionnaire à l’Académie de France à Rome – Villa Médicis en 2019-2020, elle développe un travail proche de la sculpture.

 

armors

clinique vestimentaire

gisant.e.s


quarantaine vestimentaire

sculptures vestimentaires

d'après zénobie